Sorti le 9 juillet 2002
Un autre groupe de post-hardcore, un autre résultat similaire. Glassjaw, un groupe américain avec une carrière assez incongrue (seulement deux albums dont le dernier, celui-ci, remonte à 2002), plusieurs séparations, réunions, changements de line-up, mais une chose demeure la même au fil du temps : la qualité de sa musique, inexistante. En fait, c’est moins pire qu’Alexisonfire, je dois l’accorder, mais c’est certainement pas cet opus qui va me faire aimer le post-hardcore!
En fait, pour faire simple, je reproche à Worship and Tribute ce que je reprochais à Alexisonfire, c’est à dire qu’en gros, c’est n’importe quoi! La musique est chaotique au possible et la voix me donne envie de devenir sourd. Cependant, l’instrumental est beaucoup plus appréciable sur cet album, même que je me suis surpris à apprécier certaines pièces, comme Cosmopolitan Bloodloss. Attention par contre à ne pas interpréter ça comme étant une appréciation de l’album dans son ensemble, ce qui n’est aucunement le cas! Tout au plus, ces quelques chansons potables m’ont permis de traverser l’album au complet sans devoir faire une pause pour écouter de la bonne musique!
Ma critique n’ira pas plus loin, car, sincèrement, je n’ai pas grand-chose à dire de plus. Pour un review plus détaillé de ce que je n’ai pas aimé sur cet album, je vous invite à lire mes critiques de Moneen ainsi que d’Alexisonfire, assez similaires dans la musique, mais surtout dans les reproches que je lui fais.
À écouter : Mu Empire, Cosmopolitan Bloodloss, Stuck Pig
4/10
Par Sacha Dürig
Critique de salon 