Après un gros débat des chefs, les nouveautés de la semaine, avec beaucoup de sorties, surtout dans le vaste registre urbain. Voici ce qu’on retient pour vous.
Bernard Adamus – Sorel Soviet So What
Le nouveau Bernard Adamus s’éloigne doucement des titres aux références scatologiques, mais aussi du style folk-country qui caractérisait ses deux premiers opus. Son blues promet de laisser plus de place au cajun et au bluegrass, pour un album plus énergique que jamais.
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Le groupe synthpop écossais avait frappé fort avec son premier album il y a deux ans. Every Open Eye serait, selon la plupart des critiques avant sa sortie, encore meilleur avec des sonorités plus «explosives». Ce second opus est aussi décrit comme plus lumineux que The Bones of What You Believe.
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New Order lance un dixième album, aux tendances plus électronique. Le line-up du groupe a sensiblement bougé depuis Lost Sirens (2013, mais enregistré en 2005), comme le bassiste Peter Hook a quitté et que la claviériste Gillian Gilbert est revenue entretemps.
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The Dead Weather – Dodge and Burn
Le supergroupe américain lance son troisième album, produit par Jack White (aussi dans le band). Cet album était grandement attendu, comme les premières chansons sont apparues dès octobre 2013. Le dernier opus du groupe remonte à 2010.
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Le duo anglais Disclosure lance un second album après son très populaire Settle (en 2013). Sur Caracal, on aura droit à des collaborations avec des chanteurs comme Gregory Porter, Lorde et Sam Smith. Le temps dira si, à long terme, ce nouvel album connaîtra le même succès.
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Kurt Vile – B’lieve I’m Goin Down…
Le sixième album de Kurt Vile a déjà droit à des critiques plus qu’élogieuses. La dernière sortie de l’artiste indie-rock remonte à il y a deux ans et avait aussi connu un énorme succès critique.
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The Dears – Times Infinity Volume One
Le groupe montréalais célèbre ses 20 ans d’existence avec un sixième album. Ses sonorités indie-rock feront, on s’y attend, encore un retour. Le dernier opus de The Dears date d’il y a quatre ans. Nous avons critiqué cet album ici.
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Notre chroniqueur Sacha Dürig le dit très souvent, mais la plupart des artistes de metalcore tendent à changer de style ces dernières années Parkway Drive ne fait pas exception à ce mouvement en favorisant des sonorités plus métal sur Ire, son cinquième album. Des bands comme Rage Against the Machine, Lamb of God et Slayer ont été cités comme influences.
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Le premier album du DJ allemand avait déjà frappé fort avec son tropical house sympathique et entraînant. Il répète la formule à peine un an plus tard avec Sugar.
Par Olivier Dénommée