Semaine extrêmement éclectique en matière de nouveautés musicales. On a un peu de tout, dont beaucoup d’artistes québécois au menu. Petit survol des gros titres de la semaine.
Simple Plan – Taking One for the Team
Cela aura pris près de 5 ans au band pop-punk québécois avant de sortir ce nouvel album complet. Le premier single de l’opus met en vedette le rappeur américain Nelly, et donne aussi l’impression que le groupe s’éloigne un peu du style de ses précédents albums avec quelque chose d’un peu plus pop et funky.
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Mavis Staples – Livin’ on a High Note
Star de la soul et du gospel, Mavis Staples ne cesse de chanter, même à 76 ans. L’écoute de la chanson Happy de Pharrell Williams l’a convaincue qu’elle désirait faire un album aussi joyeux. Cela a donné Livin’ on a High Note, où elle voulait mettre de l’avant une célébration en musique.
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La chanteuse lance un 11e album en carrière, mariant pop et country. Ce nouvel album en près de 10 ans marque aussi beaucoup de compositions originales par d’autres artistes, et seulement trois signées par la Gaspésienne.
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Animal Collective – Painting With
Le band de pop expérimentale lance un 10e album, quatre ans après son précédent effort studio. On y retrouve le même line-up qu’on retrouvait en 2009 avec Geologist, Panda Bear et Avey Tare. D’ailleurs, il existe trois pochettes différentes à cet album, représentant chacune un des trois musiciens.
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Le groupe de rock-trad québécois propose un troisième album, avec la promesse de continuer à faire swinguer ses fans de longue date. La dernière sortie du band remonte à 2013, après quoi Bodh’aktan a beaucoup joué, notamment en Europe, pour inspirer de nouvelles compos.
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Le duo hip-hop acadien Radio Radio s’attaque à un nouveau marché : après avoir chanté majoritairement en français et en chiac, le band lance un premier album complètement en anglais. Light the Sky est le cinquième effort du groupe.
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Le groupe australien de hard rock revient pour un quatrième album, moins de deux ans après le précédent. Selon le frontman Andrew Stockdale, il est revenu au processus de composition qui avait été utilisé en 2005 pour le premier album. On parle aussi d’influences assumées de Black Sabbath.
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Le groupe de Hamilton lance un second opus, dans un registre hard rock bien assumé. On cite des influences de Slash et de Alice in Chains, mais on peut aussi entendre beaucoup de similitudes avec Pearl Jam. Notre critique viendra sous peu.
Par Olivier Dénommée