Jusqu’à présent, Critique de salon a fait beaucoup de critiques d’albums, parlant, bien évidemment, de ce qu’on entendait dans ceux-ci et comment on le percevait, d’un point de vue auditif. On peut ajoute l’expérience visuelle lors d’un spectacle ou dans un vidéoclip par exemple. Mais jamais nous n’avons critiqué un album pour son goût en bouche. Voici donc une exception avec Chocolats symphoniques, œuvre créée par le québécois Maxime Goulet. Lire la suite