Tout d’abord, je tiens à réviser mon opinion sur les deux Keepers. Mon opinion sur le premier ne change pas, il est toujours aussi parfait. Par contre, après multiple écoutes, je dois dire que le deuxième m’a un peu déçu par rapport aux critiques et à l’opinion globale des fans. Soyons clairs là-dessus : il est très bon. Par contre, est-ce que c’est un chef d’œuvre comme son prédécesseur? Pas tant. Lire la suite
Archives du mot-clé Michael Weikath
Keeper of the Seven Keys Part 1 – Helloween
Qui aurait prédit que l’arrivée d’un jeune chanteur de 18 ans nommé Michael Kiske aiderait à propulser Helloween dans les hautes sphères du métal? Mais ce fut tout de même le cas. Nous avons à présent cinq musiciens de haut talent, dont trois (Kiske, Michael Weikath et Kai Hansen) qui sont de superbes compositeurs. Ensemble, ils présentèrent à leur maison de disque un projet d’album concept, qui fut refusé, par crainte d’un manque de rentabilité. Ce faisant, Helloween a dû séparer son projet Keeper of the Seven Keys en deux, ce qui en somme est très bien, car cela leur a permis de nous donner non pas un, mais deux chef d’œuvres consécutifs. Lire la suite
Walls of Jericho – Helloween
1985 a décidément été une grosse année pour Helloween. D’abord, en mars, ils sortaient leur premier EP et en décembre, leur premier album complet. Lire la suite
Helloween – Helloween
Mise en contexte
Helloween se trouve dans la catégorie des groupes pionniers. Alliant vitesse et mélodie, il contribue à l’émergence du speed mélodique, renommé plus tard power metal. À la tête de ce groupe, deux guitaristes et compositeurs de grand talent : Kai Hansen et Michael Weikath. Ce groupe alignera albums légendaires, échecs légendaires et disputes légendaires. Cependant, il n’en demeure pas moins un des gros noms du métal toujours en activité. Il est d’ailleurs un des rares groupes power metal européens à faire régulièrement un passage en Amérique du Nord. Étant un grand fan de ce groupe, je m’attribue donc la tâche de faire une critique de chacun de leurs albums en me mettant dans la peau d’un fan de l’époque qui vient d’acheter l’album en magasin. Lire la suite