Une nouvelle mode semble naître depuis quelques années à peine. Les grands orchestres classiques ne se limitent plus à jouer du Beethoven, pour le grand plaisir du public qui veut entendre autre chose. C’est vraiment une bonne chose dans la mesure où la «jeunesse» est assez peu initiée à ce style prestigieux. L’orchestre philharmonique de Londres (London Philharmonic Orchestra) a compris que pour rejoindre ce public capricieux, il fallait jouer quelque chose qui lui touchait, et a visé dans le mille avec Greatest Video Game Music, Vol. 1, où il reprend 21 pièces parmi les jeux les plus épiques qui existent. Lire la suite