Sorti le 2 mars 2018
Ces dernières années, le producteur américain Moby s’était lancé dans une aventure punk qui avait connu un accueil mitigé, autant de la critique que du public. Il s’était trop éloigné du registre qui l’avait rendu populaire, se plaignaient certains. On ne pourra pas dire que Moby n’est pas capable d’écouter ce qu’on lui dit : il est revenu là où il excellait, mais tout en gardant ses références post-apocalyptiques dans Everything Was Beautiful, and Nothing Hurt. Lire la suite